Rentrée de l'habitat éthique 2023 : Au Bercail reprend du service
Rentrée de l'habitat éthique 2023 : Au Bercail reprend du service
2 saisons de podcast déjà diffusées, la prochaine arrive dès le 14 septembre. C'est le moment idéal pour faire un bilan avant la rentrée de septembre. Quelles sont les nouvelles ? A-t-on atteint nos objectifs ? A-t-on appris de nos erreurs de l'année écoulée ? Je te dévoile tout.
Sommaire : tu veux un complément d’info ? Rends-toi à la section voulue 😉
- Chiffres & activité
- L’équipe Au Bercail s’agrandit !
- Une grosse remise en question
- Nos ressentis & objectifs à venir
Chiffres & activité
La construction d'un média n'est pas un long fleuve tranquille. Des hauts et des bas s'enchainent, les victoires et les échecs font partie du jeu.
Ce point Chiffres & Finances permet :
- d'être totalement transparentes avec toi sur nos chiffres. Ils peuvent être inquiétants ou bien rassurants. L'idée est d'appréhender l'évolution d'un projet de l'intérieur.
- De suivre "l'effet" de nos actions, cela nous permet de prendre du recul, d'analyser la situation et de l'ajuster si nécessaire. L'essentiel est de les analyser pour avancer.
Objectifs & Résultats 🎯
Notre objectif premier pour l'année 2023 est de construire une communauté Au Bercail de 1.000 personnes (toutes plateformes confondues).
Chaque trimestre, nous fixons 3 sous-objectifs et développons un plan d'action pour les atteindre. Ils s'articulent de la même manière :
- 1 objectif sur la Création de contenu (podcast + blog)
- 1 objectif sur notre Partenariat & Équilibre (organisation de travail)
- 1 objectif qui dépend de l'objectif principal, cette année principalement sur la communication et la visibilité :
- 1er trimestre : structuration des process
- 2e trimestre : Instagram
- 3e trimestre : Instagram
- 4e trimestre : à déterminer en septembre :)
La thune, le fric, la moula... 🤑
« Mais, comment vous rémunérez-vous ? »
C'est une question qui revient très souvent lorsque nous parlons d'Au Bercail. C'est une question légitime.
Nous avons toujours la même réponse : « Aujourd'hui, Au Bercail est une activité bénévole. »
Tu l'auras compris, aujourd'hui, on ne gagne pas d'argent avec Au Bercail. On pourrait même dire qu'on en "perd" si tu vois la situation de manière binaire : gain/perte.
De notre côté, avec Caro, on voit Au Bercail comme un investissement. On se consacre tous les mois dans un projet auquel on croit. On investit notre temps, notre énergie et notre argent.
Bon, qu'en est-il côté investissement financier ?
Aujourd'hui, Au Bercail a besoin de 157,57 euros par mois exactement pour fonctionner.
Cela comprend nos outils :
- Ausha, plateforme d'hébergement du podcast : 110€ par an, soit 9,17€ par mois ;
- O2Switch, nom de domaine et hébergement du site web : 110,70€ par an, soit 9,23€ par mois ;
- Canva, outil pour créer nos visuels de com : 109,99€ par an, soit 9,17€ par mois ;
Nous utilisons aussi des outils comme Notion et Calendly dans leur version gratuite et d'autres en version payante comme Antidote. Nous ne les rentrons pas dans les chiffres d'Au Bercail, tout simplement parce que nous les utilisons d'abord dans notre quotidien de freelance.
Notre investissement se fait surtout auprès de partenaires avec lesquels nous travaillons : développeur, monteur et assistant web. Ils peuvent être ponctuels ou récurrents (je t'en reparle dans la prochaine section 😉) : environ 130€ par mois.
L'équipe Au Bercail s'agrandit !
Bienvenue à Gaëtan et Julien dans l'équipe Au Bercail 🥳.
Gaëtan nous aide sur le montage des épisodes de podcast depuis mars 2023. C'est simple, on ne peut plus s'en passer 🫶🏻.
Julien nous a aussi rejoints dernièrement. Nous commençons tout juste en août après un test concluant. Je t'ai dit que c'était tout frais. Il m'aide pour la mise en ligne des articles de blog.
Tu te souviens de notre dernier article En Coulisse sur les 5 apprentissages de la première année ? Si tu veux le relire, le voici : On fait le bilan, calmement.
Eh bien, grâce à Gaëtan et Julien, on continue de :
- Prioriser et Investir : en déléguant certaines tâches, nous nous dégageons du temps pour d'autres ;
- S'organiser : en travaillant avec de nouvelles personnes, nous devons être d'équerre avec Caro pour fournir le bon matériel de travail en temps et en heure.
D'ailleurs, niveau orga, on commence à gérer et à ressentir les bienfaits :
- Podcast : 3 épisodes montés et prêts à être diffusés avant que la saison 3 ne commence + 7/10 invités déjà bookés ;
- Blog : 6 articles écrits d'avance à la fin août ;
- Réseaux sociaux (Insta + LinedkIn) : création de contenu terminée pour septembre + planning prévu pour les 3 prochains mois.
Bilan = Charge mentale allégée.
Ça soulage de savoir qu'on a de l'avance et qu'on pourra gérer si des imprévus surviennent. Oui, oui, nous avons appris de nos erreurs #jeneveuxplusêtresousleau 😉.
Une grosse remise en question
En avril, j'ai décidé de tout couper. Je n'arrivais même plus à ouvrir mon ordinateur sans me sentir déprimée ou en colère. Oups ! Il y a clairement un problème ici.
Après une longue réflexion, j'ai pris la décision d'arrêter mon activité de rédactrice web freelance. Je me laisse quelques mois pour :
1. Souffler.
2. Faire ce qu'il me plait.
3. Tester des projets qui me tiennent à cœur.
Dès juin, Caro a senti un tournant dans son activité de freelance aussi. Des remises en question sur ses offres, ses clients et son fonctionnement s'enchainent.
« Mais qu'est-ce qu'on fait maintenant ? » On n’a pas encore une réponse nette et précise.
Tout se qu'on sait aujourd'hui, c'est qu'Au Bercail est un projet qui nous tient à cœur, à toutes les 2. C'est dans Au Bercail qu'on se réfugie systématiquement, lorsque nous avons un moment down dans nos activités respectives ou lorsque nous sommes dans l'incertitude.
Tu l'auras compris, pour Caro comme pour moi, Au Bercail est un projet moteur. Hors de question de le lâcher ! On a juste envie de continuer, de le développer et de toujours kiffer.
Nos ressentis & objectifs à venir
Côté réussites :
👩💻 La team 👨💻 : on est fière d'avoir à nos côtés Gaëtan et Julien qui croient et participent au développement du média Au Bercail. Le feeling perso comme pro est tout de suite passé.
🟣 Instagram : on a fait nos premiers Reels (#boomer). Je te confie qu'on appréhendait de les faire et nous mettre en avant. Aujourd'hui, on prend du plaisir à les faire.
🎙️ Podcast : + de 3.300 écoutes en moins d'un an d'existence sur une thématique aussi nichée qu'est l'habitat durable 💪
👯♀️ Team building : le prochain est prévu en octobre 2023. C'est une habitude qu'on veut ancrer. Je dois avouer que c'est assez facile, car on est à chaque fois pressée de se revoir et de passer des moments ensemble IRL.
Côté apprentissages :
Je me suis mis une grosse pression toute seule pour rédiger des articles et publier sur le blog. À tel point que je n'avançais plus, car ce n'était pas la manière qui me correspondait.
Aujourd'hui, j'ai trouvé un rythme. Il changera peut-être demain. Ce qui est sûr, c'est qu'une nouvelle série d'articles est prévue pour novembre (quand je te dis que je me suis organisée et que j'ai pris de l'avance 😉). Hâte que tu la découvres !
Du côté de Caro, elle est devenue une pro de l’anticipation des enregistrements et de la programmation des épisodes de podcast. Ce gain de temps lui permet de passer plus de temps à la recherche des intervenants et à la préparation des interviews.
C'est quoi la suite ?
- Des épisodes de podcast qui changent (un peu) dans la forme, mais pas du tout dans le fond. Rendez-vous le 14 septembre pour écouter le premier épisode de la saison 3.
- Des articles de blog propices à l'évasion, d'autres au décryptage de solutions éthiques pour ton bercail.
- Une présence régulière sur Instagram. Viens nous rejoindre et papoter avec nous !
- Une réflexion autour du financement, tout en restant un média indépendant. D'ailleurs, quelles sont tes questions par rapport au financement des médias en France ? Pose tes questions en commentaire :)
- La newsletter Au Bercail s’arrête. Jusqu’à présent, elle servait surtout à annoncer la sortie des épisodes de podcast. La valeur apportée nous semble minime par rapport aux contenus produits sur les autres canaux : podcast, blog et Instagram. Après plusieurs semaines de tests et de remaniement, on s’est rendu à l’évidence. La newsletter demande, elle aussi, du temps et de l’énergie pour te délivrer un contenu de qualité. Aujourd’hui, on préfère concentrer nos efforts sur les canaux déjà existants afin de les développer et de continuer à t’apporter la bonne info.
Prêt pour une rentrée remplie de solutions durables pour ton bercail ? Nous, oui !
On fait le bilan, calmement.
On fait le bilan, calmement.
Cela fait un an qu'on a commencé le média Au Bercail. Et il s'en est passé des choses en 365 jours. Retour sur cette année de lancement et sur les 5 leçons apprises.
1. À l'action, tu te mettras.
À partir de mars, on a des sessions de travail hebdomadaires avec Caro.
Le but ? Définir notre projet.
Positionnement, stratégie, identité visuelle... tout a été fait. Il ne manquait plus qu'à contacter les intervenants pour notre podcast, dont la sortie était prévue le 12 septembre 2022.
Sauf qu'on reculait sans cesse cette étape.
Après un bon coup de pied aux fesses, les premiers mails ont été envoyés. Eh tu sais quoi ? Les retours ont été chaleureux et positifs. Ça motive !
Bref, ça ne sert à rien de rester dans son coin. Confronter son idée sur le terrain est la meilleure chose à faire. On gagne du temps, on sait ce qui va et ce qu'on doit améliorer.
Aujourd'hui, contacter un particulier ou un pro pour découvrir son projet et son expérience est devenu naturel.
2. Prioriser, tu feras.
C'est cool de discuter avec plusieurs personnes. On adore comprendre le cheminement des personnes, leur projet de vie et leur expérience.
À tel point qu'on voulait tout partager. Mais, minute papillon ! Parfois, même si le projet était très intéressant, il ne correspondait pas en tout point à la philosophie d'Au Bercail.
Ici, on prend donc 2 minutes pour souffler. Puis, 2 minutes pour relire notre charte et notre persona.
On retourne aux sources avec 2 questions :
- Qu'est-ce qu'on veut faire avec Au Bercail ?
- Qu'est-ce qu'on veut véhiculer et partager ?
3. Investir, tu n'hésiteras pas.
Il vaut mieux payer un peu, même si tu es à court d'argent. Cela permet de gagner en temps, en compétence et en sérénité.
Je m'explique.
À partir de juillet, je me suis concentrée à fond sur le site Internet (même un peu trop).
Le site doit être opérationnel à la sortie du podcast.
Si notre première idée est de déléguer cette tâche à un développeur, notre budget et mes compétences sur Wordpress nous ont fait changer d'avis.
Je mets donc les mains dans le cambouis. Hébergeur, Wordpress, Elementor et c'est parti pour la construction du site Au Bercail.
Le tout en version gratuite.
Et j'ai réussi. Le site est à l'image que l'on voulait, en ligne à temps et il ne nous a rien coûté.
Sauf que j'ai perdu E.N.O.R.M.E.M.E.N.T de temps.
Avec le recul, on aurait dû payer une cinquantaine d'euros pour accéder à un logiciel. Il m'aurait permis d'aller beaucoup plus vite et surtout d'éviter de me faire des nœuds au cerveau.
4. Mieux organisée, tu seras.
Peut-être que tu le sais déjà. Caro et moi-même, nous sommes freelances. C'est-à-dire que l’on construit Au Bercail à côté de nos activités respectives.
En juillet et août, mon activité était plus tranquille. J'ai donc mis mon temps et mon énergie sur Au Bercail (et notamment ce fameux site web).
Je vois des améliorations à faire sur le site, côté technique. On décide toutes les deux de se concentrer dessus et de remettre à plus tard les articles de blog. C'était en septembre. Ce n'est pas très grave si le blog sort avec 15 jours de retard.
On décide aussi de créer une newsletter pour accompagner le podcast, chose qui n’était pas prévue.
Sauf que la reprise d’activité a été rude, on enchaîne entre la création de contenu et nos missions client respectives. Au final, les objectifs sont loins d’être complètement remplis (article de blog, épisode de posdcast et programmation de dernière minute).
Note à nous même : équilibrer notre temps entre nos activités pro et Au Bercail.
5. Un Team Building, tu ancreras.
Bon la visio c'est cool, mais In Real Life, c'est mieux quand même.
Lors d'une session de travail, Caro me dit : "Fred, moi aussi je veux faire un team building. On peut en faire un avec Au Bercail ? Un team building, ça commence bien à partir de 2, hein ?"
J'adore l'idée.
Il ne faut pas oublier qu'Au Bercail, c'est aussi une aventure avec une coéquipière, une collègue, une amie... appelle-la comme tu veux.
C'est surtout une personne que tu apprends à connaitre. Les liens qu'on tisse sont primordiaux.
Ils nous permettent de renforcer notre manière de travailler ensemble, mais aussi de faire le point sur les aspirations de l'autre.
Ni une, ni deux, on recherche le lieu pour notre team Building. Pour la première année, ce sera un week-end à Lille chez Caro.
J'y ai découvert la ville et la gastronomie (très légère) du Nord. Elle est délicieuse. On a aussi fait un escape game. Si tu veux plus de détails, j'y ai consacré un post Instagram.
Bref, le Team Building nous a permis de passer un super week-end ensemble et de remarquer qu'en visio ou en présentiel, c'est fluide et transparent entre nous.
Pour conclure
Oui, on a rencontré des obstacles et fait des erreurs. Mais, on a aussi su rebondir. On retient les leçons et on avance plus déterminées pour cette nouvelle saison d'Au Bercail.
Au Bercail, comment tout a commencé
Au Bercail, comment tout a commencé
C’est vrai au fait, comment a commencé le projet Au Bercail ? Qui se cache derrière ? Et pourquoi le média Au Bercail a-t-il vu le jour ? Tout a commencé avec la naissance de Frédérique en 1991, puis de Caroline en 1994… Bon d’accord, je passe les détails et je vous explique tout sur la naissance d’Au Bercail. Let’s go !
L'enfance
J’ai travaillé l’été au comptoir, j’ai réalisé mon apprentissage d’acheteuse dans la distribution et le négoce, j’ai réalisé mes premières campagnes marketing avec des matériaux de construction et j’ai contribué à monter des magasins. Même en essayant de sortir de ce domaine en passant par l’industrie, j’y reviens à chaque fois.
Caroline
Oui, avec un père et un grand-père entrepreneur, la jeune fille rêve d’émancipation et d’un projet bien à elle. Caro a toujours eu l’âme entrepreneuse. Elle devient freelance en 2020 comme Consultante marketing pour les entreprises dans la tech, le bâtiment et l’industrie. Elle continue de créer en parallèle des projets comme son premier podcast “À la rencontre d’eux” qui part à la découverte de métiers improbables, insolites ou singuliers. Aujourd’hui, elle poursuit toujours le développement de nouveaux projets avec Au Bercail.
Tandis que moi (Fred), j’ai grandi en région parisienne. Ma mère travaille dans l’immobilier et mon père est un bon bricoleur. À part cela, rien de bien croustillant à se mettre sous la dent pour expliquer le projet Au Bercail. Apparemment, tout ne viendrait pas de l’enfance… alors . Non, il faut attendre un stage fait durant mon BTS en communication pour découvrir ma curiosité pour le monde du bâtiment. Je voulais être attachée de presse, peu m’importait le secteur au début. Le feeling est bien passé avec une petite agence de com spécialisée dans l’industrie et la construction. Vous devinez la suite ? J’ai adoré ce milieu, très technique par moment, mais il faut l’avouer assez passionnant. J’ai essayé d’autres univers, avant de revenir au bâtiment. J’ai d’ailleurs fait 5 ans comme attachée de presse dans l’univers de la maison et de la construction. Aujourd’hui, je suis rédactrice web, en freelance aussi.
La rencontre des deux compères
Toutes les deux babyfreelances, j’ai rencontré Caro grâce à la communauté Tribu Indé, animée par Alexis Minchella. Ce dernier est alors dans l’écriture de son premier livre (Freelance, l’aventure dont vous êtes le héros) et il souhaite construire une tribu de béta-lecteurs. Alexis nous partage les coulisses de l’écriture et de la promotion de son livre. Il y a même des coworking virtuels pour nous aider dans notre quotidien de freelance. Avec Caro, on a commencé à parler de voyage. Forcément, ça a tout de suite matché entre nous. Elle me raconte son expérience de vanlife en Nouvelle-Zélande (un pays où j’ai toujours voulu aller), et moi je lui parle de l’Amérique du Sud (un continent où elle a toujours voulu aller). J’étais d’ailleurs en Argentine à ce moment-là.
Quelques boutades et relectures plus tard, le livre est publié et la tribu de béta-lecteurs se dissout peu à peu. Mais ne vous inquiétez pas, ce n’est pas la fin de l’histoire. En vrai (Caro le sait), ce n’est que le début.
1 an plus tard, Alexis Minchella (encore lui) organise son premier Bootcamp à destination des freelances. Avec Caro, on échange sur nos impressions avant d’y adhérer. Finalement, on fait partie toutes les deux de la promo 1, nommée Les Alphas (beaucoup trop de testostérone avec ce nom ).
L'idée du média Au Bercail
Cela fait 3 mois intenses qu’on trime avec ce Bootcamp (mais ça vaut le coup!). Nos liens se renforcent. En plus des sessions live et des visios en groupe, avec Caro et Virginie (une autre béta-lectrice), on organise de temps en temps des visios café pour parler de nos projets et s’entraider sur les difficultés rencontrées.
Quand Caro m’a dit qu’elle avait une nouvelle idée, j’ai tout de suite proposé une rencontre pour qu’elle m’en dise plus. C’était en février 2022. On échange sur ses premières réflexions et mes retours à chaud. Quelques jours plus tard, on en reparle. Je suis toujours aussi enthousiaste. J’adore l’idée de partager nos questions sur l’habitat. D’autant plus que la vision de Caro correspond exactement à la mienne. J’ai donc proposé mon aide dans ce nouveau projet.
On est gonflée à bloc toutes les deux. Lors du dernier appel, Caro m’a dit :
Si tu es toujours opé et motivée, ce n’est plus mon projet, c’est celui de Caro et Fred.
Elle n’est pas magnifique cette phrase ?
Partners in crime, au travail !
Depuis le 1er mars 2022, on travaille sur cette idée qui deviendra un projet à part entière dans notre quotidien.
À raison d’une réunion hebdomadaire jusqu’en avril, puis de 2 visios par semaine jusqu’en juin, on crée, on organise, on bâtit, on déconstruit, on façonne Au Bercail :
- On enquête pour savoir si une audience est intéressée par Au Bercail. Cela passe par des questionnaires et des entretiens pour construire un projet qui répond aussi à vos attentes.
- On élabore, on réfléchit et on décide enfin de la trame, du concept et du nom.
- On collabore avec une super graphiste au doux nom de Lucie Sevaistre (une indé de la promo Alpha) pour l’identité visuelle d’Au Bercail.
- On stresse aussi : “Et si ça ne plaisait pas ?”. On se met un nouveau coup de pied aux fesses pour le lancement d’Au Bercail, prévu le 12 septembre 2022. On contacte des pros du bâtiments, on papote avec des influenceurs du secteur et on échange avec des particuliers.
- Caro s’active, elle enregistre les épisodes de podcast avec les invités, puis elle passe au montage. Moi, je ne fais que la regarder. Bien sûr que ce n’est pas vrai, de mon côté j’enchaine aussi, je construis seule le site internet et j’écris les premiers articles du blog.
Aujourd’hui, Au Bercail est un média à part entière sur l’habitat de demain, au travers d’un podcast et d’un blog.
Mais au fait, pourquoi on développe Au Bercail ?
- Pour s’amuser
La base de ce projet personnel, c’est de répondre à nos questions. Au lieu de rester dans notre coin, on a décidé de faire de ces questionnements, une véritable quête. C’est mieux de s’amuser et de prendre plaisir à ce qu’on fait, non ? Alors, on fait ce qu’on adore. On bouge, on rencontre, on papote. Et si l’on partageait notre expérience ? Voilà notre cheminement.
- Pour apprendre
Oui, tu l’auras compris, avec Caro, on se pose toutes les deux des questions sur notre logement, le lieu et la façon de faire. On veut donc des réponses. Aujourd’hui, notre bercail idéal n’est pas du tout défini. Au Bercail est donc une manière de répondre à nos questions et à nos envies.
- Pour partager
Avec Au Bercail, on partage ce qu’on vit. Tu te souviens de ce qui a tout de suite matché avec Caro ? C’est notre amour pour les voyages et ce qu’ils supposent. “Mais qu’est-ce-que ça suppose Fred ?” Merci de demander ! Tout simplement, des rencontres et des expériences. Au Bercail c’est pareil, on veut pouvoir rencontrer et expérimenter. Comme les voyageurs, on aime se donner nos retours, nos avis, nos conseils et les bons plans. Ici, avec Au Bercail, on fait pareil.
- Pour créer un projet qui nous anime depuis longtemps
Au Bercail répond aussi à la fibre entrepreneuriale de Caro. Elle a toujours su qu’elle devait créer quelque chose, sans savoir quoi, comment et quand. Grâce au freelancing, elle peut bâtir une activité à son image et continuer d’avancer sur ses projets personnels. Ce que tu ne sais pas encore, c’est que Caro adore créer et monter des projets. Ce qui l’anime, c’est se dépasser et assouvir sa curiosité sans fin. Elle est comme ça notre Caro, curieuse et déterminée.
De mon côté, c’est l’idée de construire un média qui me plait. Je planchais d’ailleurs sur une autre idée de média écrit autour du logement lorsqu’on est sur les routes. Tu comprends mieux maintenant pourquoi, j’étais aussi enthousiaste lorsque Caro m’a parlé pour la première fois de son idée de projet sur habitat . Aujourd’hui, j’avance sur un projet de plus grande ampleur en compagnie d’un binôme de qualité.
- Pour développer nos compétences et faire évoluer nos business respectifs
Avec Au Bercail, on apprend aussi de nouvelles compétences ou on parfait nos connaissances autour du podcast, du site et du blog, de la newsletter, des réseaux sociaux… On interview, on monte, on rédige. On écoute, on communique, on partage. On code, on développe, on programme. Bref, on apprend continuellement et cela ne fait que commencer
Avec Au Bercail, le projet nous apporte une certaine visibilité sur nos compétences, notre travail et notre vision. Cela peut ouvrir des opportunités indirectes.
P.S : Si tu veux en savoir plus sur le nom Au Bercail, tu trouveras toutes les réponses dans ce post
Tu as des questions sur le projet Au Bercail ? Pose-les en commentaire, je serai ravi d'y répondre.