Au Bercail, comment tout a commencé
C’est vrai au fait, comment a commencé le projet Au Bercail ? Qui se cache derrière ? Et pourquoi le média Au Bercail a-t-il vu le jour ? Tout a commencé avec la naissance de Frédérique en 1991, puis de Caroline en 1994… Bon d’accord, je passe les détails et je vous explique tout sur la naissance d’Au Bercail. Let’s go !
L'enfance
Caro a passé son enfance dans le Nord. C’est une vraie Ch’ti. Même si je te passe sous silence nos années de jeunesse, je dois t’expliquer que Caroline a grandi entre les matériaux de construction, les travaux, les artisans et leurs problématiques. Ça a son importance. Ne dit-on pas que tout vient de l’enfance ? Bref, je m’égare. Oui, Caro est un peu perfusée au milieu du bâtiment depuis son jeune âge grâce à l’entreprise familiale en négoce de matériaux de construction.
J’ai travaillé l’été au comptoir, j’ai réalisé mon apprentissage d’acheteuse dans la distribution et le négoce, j’ai réalisé mes premières campagnes marketing avec des matériaux de construction et j’ai contribué à monter des magasins. Même en essayant de sortir de ce domaine en passant par l’industrie, j’y reviens à chaque fois. Caroline
Caroline
Oui, avec un père et un grand-père entrepreneur, la jeune fille rêve d’émancipation et d’un projet bien à elle. Caro a toujours eu l’âme entrepreneuse. Elle devient freelance en 2020 comme Consultante marketing pour les entreprises dans la tech, le bâtiment et l’industrie. Elle continue de créer en parallèle des projets comme son premier podcast “À la rencontre d’eux” qui part à la découverte de métiers improbables, insolites ou singuliers. Aujourd’hui, elle poursuit toujours le développement de nouveaux projets avec Au Bercail.
Tandis que moi (Fred), j’ai grandi en région parisienne. Ma mère travaille dans l’immobilier et mon père est un bon bricoleur. À part cela, rien de bien croustillant à se mettre sous la dent pour expliquer le projet Au Bercail. Apparemment, tout ne viendrait pas de l’enfance… alors . Non, il faut attendre un stage fait durant mon BTS en communication pour découvrir ma curiosité pour le monde du bâtiment. Je voulais être attachée de presse, peu m’importait le secteur au début. Le feeling est bien passé avec une petite agence de com spécialisée dans l’industrie et la construction. Vous devinez la suite ? J’ai adoré ce milieu, très technique par moment, mais il faut l’avouer assez passionnant. J’ai essayé d’autres univers, avant de revenir au bâtiment. J’ai d’ailleurs fait 5 ans comme attachée de presse dans l’univers de la maison et de la construction. Aujourd’hui, je suis rédactrice web, en freelance aussi.
La rencontre des deux compères
Toutes les deux babyfreelances, j’ai rencontré Caro grâce à la communauté Tribu Indé, animée par Alexis Minchella. Ce dernier est alors dans l’écriture de son premier livre (Freelance, l’aventure dont vous êtes le héros) et il souhaite construire une tribu de béta-lecteurs. Alexis nous partage les coulisses de l’écriture et de la promotion de son livre. Il y a même des coworking virtuels pour nous aider dans notre quotidien de freelance. Avec Caro, on a commencé à parler de voyage. Forcément, ça a tout de suite matché entre nous. Elle me raconte son expérience de vanlife en Nouvelle-Zélande (un pays où j’ai toujours voulu aller), et moi je lui parle de l’Amérique du Sud (un continent où elle a toujours voulu aller). J’étais d’ailleurs en Argentine à ce moment-là.
Quelques boutades et relectures plus tard, le livre est publié et la tribu de béta-lecteurs se dissout peu à peu. Mais ne vous inquiétez pas, ce n’est pas la fin de l’histoire. En vrai (Caro le sait), ce n’est que le début.
1 an plus tard, Alexis Minchella (encore lui) organise son premier Bootcamp à destination des freelances. Avec Caro, on échange sur nos impressions avant d’y adhérer. Finalement, on fait partie toutes les deux de la promo 1, nommée Les Alphas (beaucoup trop de testostérone avec ce nom ).
L'idée du média Au Bercail
Cela fait 3 mois intenses qu’on trime avec ce Bootcamp (mais ça vaut le coup!). Nos liens se renforcent. En plus des sessions live et des visios en groupe, avec Caro et Virginie (une autre béta-lectrice), on organise de temps en temps des visios café pour parler de nos projets et s’entraider sur les difficultés rencontrées.
Quand Caro m’a dit qu’elle avait une nouvelle idée, j’ai tout de suite proposé une rencontre pour qu’elle m’en dise plus. C’était en février 2022. On échange sur ses premières réflexions et mes retours à chaud. Quelques jours plus tard, on en reparle. Je suis toujours aussi enthousiaste. J’adore l’idée de partager nos questions sur l’habitat. D’autant plus que la vision de Caro correspond exactement à la mienne. J’ai donc proposé mon aide dans ce nouveau projet.
On est gonflée à bloc toutes les deux. Lors du dernier appel, Caro m’a dit :
Si tu es toujours opé et motivée, ce n’est plus mon projet, c’est celui de Caro et Fred.
Caroline
Elle n’est pas magnifique cette phrase ?
Partners in crime, au travail !
Depuis le 1er mars 2022, on travaille sur cette idée qui deviendra un projet à part entière dans notre quotidien.
À raison d’une réunion hebdomadaire jusqu’en avril, puis de 2 visios par semaine jusqu’en juin, on crée, on organise, on bâtit, on déconstruit, on façonne Au Bercail :
- On enquête pour savoir si une audience est intéressée par Au Bercail. Cela passe par des questionnaires et des entretiens pour construire un projet qui répond aussi à vos attentes.
- On élabore, on réfléchit et on décide enfin de la trame, du concept et du nom.
- On collabore avec une super graphiste au doux nom de Lucie Sevaistre (une indé de la promo Alpha) pour l’identité visuelle d’Au Bercail.
- On stresse aussi : “Et si ça ne plaisait pas ?”. On se met un nouveau coup de pied aux fesses pour le lancement d’Au Bercail, prévu le 12 septembre 2022. On contacte des pros du bâtiments, on papote avec des influenceurs du secteur et on échange avec des particuliers.
- Caro s’active, elle enregistre les épisodes de podcast avec les invités, puis elle passe au montage. Moi, je ne fais que la regarder. Bien sûr que ce n’est pas vrai, de mon côté j’enchaine aussi, je construis seule le site internet et j’écris les premiers articles du blog.
Aujourd’hui, Au Bercail est un média à part entière sur l’habitat de demain, au travers d’un podcast et d’un blog.
Mais au fait, pourquoi on développe Au Bercail ?
Quelle bonne question
- Pour s’amuser
La base de ce projet personnel, c’est de répondre à nos questions. Au lieu de rester dans notre coin, on a décidé de faire de ces questionnements, une véritable quête. C’est mieux de s’amuser et de prendre plaisir à ce qu’on fait, non ? Alors, on fait ce qu’on adore. On bouge, on rencontre, on papote. Et si l’on partageait notre expérience ? Voilà notre cheminement.
- Pour apprendre
Oui, tu l’auras compris, avec Caro, on se pose toutes les deux des questions sur notre logement, le lieu et la façon de faire. On veut donc des réponses. Aujourd’hui, notre bercail idéal n’est pas du tout défini. Au Bercail est donc une manière de répondre à nos questions et à nos envies.
- Pour partager
Avec Au Bercail, on partage ce qu’on vit. Tu te souviens de ce qui a tout de suite matché avec Caro ? C’est notre amour pour les voyages et ce qu’ils supposent. “Mais qu’est-ce-que ça suppose Fred ?” Merci de demander ! Tout simplement, des rencontres et des expériences. Au Bercail c’est pareil, on veut pouvoir rencontrer et expérimenter. Comme les voyageurs, on aime se donner nos retours, nos avis, nos conseils et les bons plans. Ici, avec Au Bercail, on fait pareil.
- Pour créer un projet qui nous anime depuis longtemps
Au Bercail répond aussi à la fibre entrepreneuriale de Caro. Elle a toujours su qu’elle devait créer quelque chose, sans savoir quoi, comment et quand. Grâce au freelancing, elle peut bâtir une activité à son image et continuer d’avancer sur ses projets personnels. Ce que tu ne sais pas encore, c’est que Caro adore créer et monter des projets. Ce qui l’anime, c’est se dépasser et assouvir sa curiosité sans fin. Elle est comme ça notre Caro, curieuse et déterminée.
De mon côté, c’est l’idée de construire un média qui me plait. Je planchais d’ailleurs sur une autre idée de média écrit autour du logement lorsqu’on est sur les routes. Tu comprends mieux maintenant pourquoi, j’étais aussi enthousiaste lorsque Caro m’a parlé pour la première fois de son idée de projet sur habitat . Aujourd’hui, j’avance sur un projet de plus grande ampleur en compagnie d’un binôme de qualité.
- Pour développer nos compétences et faire évoluer nos business respectifs
Avec Au Bercail, on apprend aussi de nouvelles compétences ou on parfait nos connaissances autour du podcast, du site et du blog, de la newsletter, des réseaux sociaux… On interview, on monte, on rédige. On écoute, on communique, on partage. On code, on développe, on programme. Bref, on apprend continuellement et cela ne fait que commencer
Avec Au Bercail, le projet nous apporte une certaine visibilité sur nos compétences, notre travail et notre vision. Cela peut ouvrir des opportunités indirectes.
Bref Au Bercail, c’est de la curiosité, de l’apprentissage et du partage. Ce média permet aussi et surtout de contribuer à notre manière à mettre une nouvelle pierre à l’édifice du développement durable dans le monde du bâtiment.
P.S : Si tu veux en savoir plus sur le nom Au Bercail, tu trouveras toutes les réponses dans ce post
Tu as des questions sur le projet Au Bercail ? Pose-les en commentaire, je serai ravi d’y répondre.